vendredi 24 février 2012

Des vaisseaux de l'alchimie ancienne




Des vaisseaux de l'alchimie ancienne 

Les vaisseaux de verres sont les meilleurs, mais ils ne conviennent qu'aux feu vaporeux ou de sables, ceux de métal s'emploient pour les feux violents et pour les grandes quantités de matières.

Les matières corrosives telles que sels, vitriols ou acides, requièrent des vases de verre ou de terres vernissées.

La cucurbite de verre couverte de son chapiteau convient aux distillations ordinaires des végétaux, à feu doux.

La vessie de cuivre étamé, munie de sa tête de more est requise en la distillation des quantités.

La cloche d'étain adaptée sur un ample bassin de cuivre, sert à distiller les fruits récents, les fleurs et les plantes succulentes.

La cornue ou retorte munie d'un ample récipient ou ballon de verre, sert à la distillation per latus, des huiles et esprits lourds, qui ne peuvent monter.

L'alambic de cuivre étamé ou le chapiteau avec son réfrigérant, sert aux autres distillations, il comporte un serpentin et est muni d'un récipient.

Les matras à long col et les vaisseaux de rencontre accouplés, sont propres aux digestions à feux lents.

Le pélican simple ou jumeau convient à la circulation.

L'aludel l'alambic aveugle ou les creusets intervertis sont requis en la sublimation. 

Le creuset de terre réfractaire convient en la fusion. 

Ora
Lege Lege Lege Relege
Labora 
Et Invenies


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